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23/04/2025

Une alternative sans ondes au compteur communicant





Voici copie de la lettre envoyée ce 16 avril 2025 à la direction de Sibelga concernant les compteurs "communicants", par les associations : Association pour la Reconnaissance de l'Electrohypersensibilité asbl, le Collectif STOP compteurs communicants, le Syndicat des Locataires, Hippocrates Electrosmog Appeal, Vereniging ElektroHyperSensitiviteit (VEHS) Vlaanderen, Beperk de Straling et grONDES.




Madame Inne Mertens, Directeur Général (CEO)
Sibelga

Chère Madame Mertens,

Objet : Une alternative sans ondes au compteur communicant

Résumé :

Nous apprenons par les personnes qui contactent nos associations que Sibelga est occupé à installer des compteurs communicants à certains endroits à Bruxelles. La législation et un arrêt de la Cour constitutionnelle stipulent qu'une alternative sans ondes doit être fournie. Nous sommes préoccupés par le fait que l'alternative « sans rayonnement » que Sibelga compte proposer consiste à installer une antenne 4G extérieure sur la façade, liée au compteur. Il est clair que ceci n’est pas du tout une alternative sans ondes. Cette solution ne convient absolument pas pour les personnes souffrant d'électrohypersensibilité ou les personnes ‘électro conscientes’. Nous exhortons Sibelga à fournir une alternative véritablement sans ondes, soit via un câble Ethernet, soit via un compteur non-communicant dont le module de communication sans fil a été désactivé complètement.


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Les compteurs communicants communiquent par défaut en émettant un rayonnement électromagnétique à haute fréquence et pulsé. Selon le type de compteur et les conditions, cela implique des dizaines, des centaines ou même des milliers d’impulsions de rayonnement par jour. En Flandre, le compteur semble émettre un pic d’ondes toutes les 15 secondes.



Dans les 3 Régions de notre pays, la législation sur le déploiement des compteurs communicants prévoit maintenant la possibilité d’obtenir une alternative sans rayonnement. Ceci est particulièrement important pour les personnes atteintes d’électrohypersensibilité (EHS). Mais cette alternative est également cruciale pour les personnes qui veulent simplement limiter leur exposition aux rayonnements, en particulier dans leur propre maison.

La Cour constitutionnelle a également confirmé dans 3 arrêts différents qu’une alternative sans ondes doit être disponible.

À Bruxelles, l’Ordonnance relative à l'organisation du marché de l'électricité du 19 juillet 2001, mise à jour en avril 2024, stipule :

« Dans le cadre de l’application de l’alinéa 1er, le Gouvernement détermine la procédure et les mesures particulières à prendre par le gestionnaire du réseau de distribution lorsque le client final, ou un membre de son ménage, qui est ou serait amené à être exposé aux champs électromagnétiques émis par un compteur intelligent dans les conditions définies par le Gouvernement, déclare que cette exposition présente un risque pour sa santé dûment objectivé. »

Il existe plusieurs possibilités pour fournir une alternative sans rayonnement : il peut s’agir d’un compteur qui communique au moyen d’un câble Ethernet ou d’un compteur dont le module de communication sans fil a été complètement désactivé. En Flandre, la première option a été choisie, en Wallonie la seconde.

Une troisième option serait de permettre au client de garder un compteur électromécanique, la solution idéale d’un point de vue de la pollution électromagnétique.

En Flandre, cependant, la mise en œuvre concrète a complètement mal tourné et il est devenu évident que le gestionnaire de réseau est de mauvaise volonté. En effet, l’alternative « filaire » proposée par le gestionnaire de réseau Fluvius s’avère ne pas être câblée du tout. Bien que l’antenne interne du compteur soit désactivée, une antenne externe 4G est placée sur la façade de la maison ou sur l’alignement des bâtiments. Le coût de cette alternative est également excessivement élevé (au moins 354 € + les frais d’installation).

Il ne s’agit bien sûr pas d’une alternative acceptable. C’est pourquoi cette solution suscite de nombreuses protestations en Flandre. Fluvius a reçu des centaines ou des milliers de lettres de refus et les associations « anti ondes » en Flandre sont submergées chaque jour par des personnes désemparées qui sont mises sous pression par Fluvius. Les politiciens sont interrogés et de nombreux procès sont en cours. En d’autres termes, le déploiement est tout sauf sans heurts et la situation est inacceptable d’un point de vue éthique et humain.

Pourtant, Fluvius a déjà installé de vrais compteurs filaires dans le cadre d’un projet pilote, qui communiquent via un câble Ethernet et le modem internet du client (ou un modem séparé pour le compteur). Techniquement, c’est parfaitement possible.

En Wallonie, en revanche, le gestionnaire de réseau est de bonne volonté, la législation est bien faite et tout le monde peut obtenir une alternative sans ondes sans aucun problème. Tout client peut demander la désactivation (complète) de la fonction communicante du compteur. Le client peut aussi vérifier la désactivation sur l’écran de contrôle du compteur (un « X » apparaissant à la place des barres montrant la force du signal).

Dans une lettre envoyée par Sibelga à l’un de ses clients, on apprend que Sibelga veut suivre le même chemin que Fluvius, à savoir l’alternative avec une « petite » antenne 4G sur la façade. Sibelga écrit :

« Nous effectuons actuellement des tests qui permettent aux compteurs intelligents de ne plus émettre directement des champs électromagnétiques mais de les reporter sur une (petite) antenne placée en façade. Fluvius (le gestionnaire du réseau de distribution en Flandre) procède de la sorte et nous entendons faire de même à plus ou moins court terme (voyez le site de FLUVIUS).

Lorsque cette solution sera prête chez Sibelga, tant d’un point de vue technique que tarifaire, nous remplacerons le compteur mécanique à votre adresse par un compteur intelligent associé à cette antenne. Cette manière de procéder nous permettra d’avoir un compteur intelligent (…) tout en répondant à vos préoccupations liées à l’électrosensibilité. »

Nous répétons qu’une « petite » antenne 4G sur la façade n’est pas une alternative acceptable. Des rayonnements (forts) restent présents et traversent les murs jusqu’à l’intérieur. Il est possible que l’exposition aux rayonnements soit encore plus élevée ou plus mal localisée qu’avec un compteur communicant standard. Il y a aussi une exposition supplémentaire dans sa propre rue et auprès des voisins. À l’heure actuelle, il n’existe aucun rapport de mesures permettant de cartographier le rayonnement de l’antenne extérieure installée par Fluvius.

Nous exhortons donc Sibelga à abandonner cette voie et à opter pour la solution simple et parfaitement adéquate mise en œuvre en Wallonie, mais aussi dans d’autres régions et pays, comme les Pays-Bas et l’Australie.

Nous vous remercions de nous communiquer votre position à ce sujet. Nous interpellerons bien sûr aussi les dirigeants politiques sur cette question.


Nous vous prions d'agréer, Madame, l'expression de nos sentiments respectueux.

25/11/2018

Pétitions et sensibilisation vs 5G

Dans le cadre de la mobilisation des citoyens et des quartiers concernant les risques, dont certains avérés, du déploiement de la 5G nous vous proposons de signer deux pétitions que nous relayons ici et de contacter vos mandataires à ce sujet:

La pétition dOndes.brussels, l'initiative soutenue par grONDES, que vous pouvez signer ici: ondes.brussels

La pétition de Me Criscenzo que vous pouvez signer ici : La 5G à Bruxelles, nouvelle menace pour notre santé !

Vous pouvez aussi diffuser l'excellent rapport "5G" d'ondes.brussels qui est disponible ici: La santé face à la 5G

Informez vos proches, amies, voisines, n'hésitez pas à contacter vos mandataires, par mail (joignez le rapport "5g") et par téléphone afin de les sensibiliser à cette question. Vous trouverez les contacts des mandataires Bruxellois ici : www.parlement.brussels/deputes/
à vos plumes virtuelles, à vos claviers, listes de contacts...Faites entendre votre opinion, agissons maintenant pour notre futur et celui des enfants !

Affichez votre opinion, sensibilisez votre quartier.
Téléchargez, imprimez, affichez...merci pour votre soutien!

https://drive.google.com/file/d/1x-u4__ivSjSrsFuA8J0QrC1YIwnkKvEq/view?usp=sharing



09/05/2018

Éviter le passage en force technocratique des compteurs communicants


Ci-dessous la carte blanche publiée le 3 mai 2018 par l’Écho en version papier et en ligne, cosignée par de nombreuses associations dont grONDES (voir signataires en fin de texte).

Embrayant le pas aux Régions wallonne et flamande, la Région bruxelloise débattra bientôt de l’adoption d’un encadrement légal des compteurs électriques communicants. Or, le dispositif – qui serait imposé au consommateur – a de quoi inquiéter.

Voilà près de 10 ans que la Commission européenne, sous l’impulsion d’un lobby puissant de fabricants de compteurs, presse les États de déployer massivement les compteurs communicants. L’ambition initiale du dispositif serait de rendre le consommateur "actif" dans la transition énergétique en l’incitant, par des formules tarifaires avantageuses, à consommer de l’énergie pendant les heures où la production est plus élevée que la demande.

À Bruxelles, un récent projet d’ordonnance dresse aujourd’hui les grandes lignes du dispositif, tandis que Sibelga prévoit déjà l’installation de 90.000 unités pour 2022. Le bruit court, par ailleurs, que certains fournisseurs de compteurs classiques en cesseraient la production. Bref, les compteurs communicants sont à nos portes et – à en croire le projet d’ordonnance – nous devrions les ouvrir, qu’on le veuille ou non. Mais à qui profiteront-ils donc?

Nécessaire, pour qui?

Les compteurs communicants suscitent un vif intérêt économique du gestionnaire de réseau: gestion de la distribution à distance (ouverture et fermeture des compteurs,…), suppression du travail de relevé des compteurs, limitation de la puissance de certains compteurs en fonction de l’offre du réseau, etc. Pour une écrasante majorité de consommateurs, ils n’offrent à peu près aucun avantage. Au contraire.

Non seulement de nombreux retours d’expérience battent en brèche l’idée selon laquelle les compteurs intelligents permettraient une réduction substantielle de consommation, mais le "déplacement de la charge" – c’est-à-dire le report des consommations de pointe sur les heures creuses – pourrait, lui aussi, tenir du mirage. L’unique avantage d’un compteur communicant reviendrait en réalité, pour les férus de domotique, richement dotés et ultra-connectés, à lancer tel ou tel appareil consommateur d’énergie (machine à laver,…) aux heures creuses de demande en énergie. Cela ne représente qu’une proportion congrue de la population, vu le coût de tels équipements et l’exigence d’un tel comportement. L’expérience française montre d’ailleurs que la proportion de ménages qui choisissent d’activer la lecture des données (de leur compteur intelligent) n’est que de 1,5%.

Compter, coûte que coûte?

Bref, avec un coût de 30 à plus de 50 euros par ménage et par an, le déploiement des compteurs communicants serait – pour une écrasante majorité de ménages – aussi inutile que coûteux. Or, les risques ne sont pas que financiers.

La protection des consommateurs pourrait également en pâtir. Des opérations telles que la coupure ou la limitation de puissance, pour défaut de paiement, seraient ainsi réalisées à distance, accélérant et déshumanisant encore un acte technique lourd de conséquences sur la dignité humaine. Par ailleurs, et même si cela ne semble heureusement pas participer aux intentions politiques bruxelloises actuelles, le compteur à budget – qui agit comme un véritable outil d’exclusion sociale en provoquant l’autocoupure une fois le prépaiement épuisé – pourrait être remis au goût du jour, sous la pression de certains opérateurs.

Enfin, la puissance mise à disposition de certains ménages pourrait également être temporairement limitée afin de pallier les insuffisances d’un réseau auquel la demande serait amenée à s’adapter, plutôt que l’inverse.

Si les compteurs communicants inquiètent, c’est aussi en raison d’un risque majeur de protection des données et de respect de la vie privée. Car ils ouvrent l’accès à une mine d’informations personnelles: nombre d’occupants, horaires, niveau d’équipement, etc. Ces données personnelles pourraient valoir leur pesant d’or si elles étaient monnayées. À cet égard, en France, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a récemment mis en demeure un fournisseur pour sa collecte de données.

Du reste, les compteurs communicants risquent de fragiliser le système électrique et seraient sensibles au piratage informatique, leur cybersécurité n’ayant pas été pensée convenablement. En plaçant des compteurs communicants dans chaque maison, on loge en fait un mini-ordinateur en communication avec l’extérieur. Le compteur devra pouvoir recevoir des mises à jour et offrir ainsi des possibilités de piratage.

Quand on parle de compteurs communicants, il faut comprendre que ces derniers sont la face visible d’un grand réseau numérique, fait de concentrateurs et bases de données. Il est évidemment crucial de veiller à la sécurité de ce réseau, non seulement pour éviter des fraudes, mais surtout pour anticiper d’éventuelles attaques de hackers qui pourraient mettre des parties du réseau hors de fonctionnement. Leur durée de vie est supposée être de 15 ans, ce qui est très long au regard des progrès informatiques. Dans la mesure où aucun nouveau module "hardware" n’est censé venir remplacer une partie qui deviendrait obsolète, il est probable que les compteurs communicants deviennent de plus en plus vulnérables à des attaques, et ceci malgré toutes les mises à jour qu’on pourra faire.

Question éthique

Ces compteurs exposent également la population à une source supplémentaire de pollution électromagnétique, dont les dommages sur la santé suscitent d’ores et déjà une vive opposition, entre autres aux Etats-Unis et en France, où plus de 594 communes ont déjà voté contre "Linky". Le fait d’imposer aux personnes électro-hypersensibles, qui souffrent de nombreux maux liés aux ondes (jusqu’à 7% de la population selon certaines statistiques), une source supplémentaire d’exposition pose de graves questions éthiques.

Enfin, ces compteurs ouvrent la voie à une complexification considérable des formules tarifaires, privant le consommateur de la possibilité de poser encore un choix éclairé, d’agir sur sa facture et de tirer bénéfice du marché concurrentiel de l’électricité. Une possibilité déjà mise à mal aujourd’hui, puisque les cinq produits les plus chers sur les marchés bruxellois de l’électricité concentrent trois fois plus de parts de marché que les cinq produits les moins chers.

Si, à l’issue d’un débat démocratique, le législateur entend déployer ces compteurs, nous demandons qu’il se limite aux consommateurs qui en auraient une utilité avérée – propriétaires de voitures électriques, prosumers, gros consommateurs (industriels)…? – et uniquement dans la seule mesure où ils en sont explicitement demandeurs. L’Europe n’impose aucunement un déploiement massif et obligatoire des compteurs: toute personne devrait donc pouvoir en refuser l’installation. En tout état de cause, nous souhaitons en outre que le consommateur résidentiel moyen n’en supporte pas le coût et ne subisse aucune discrimination tarifaire, en fonction de l’activation ou pas du compteur communicant.

Signataires:

François Grevisse, coordinateur du Centre d'appui socialenergie de la Fédération des services sociaux (FdSS); Céline Nieuwenhuis, secrétaire générale de la Fédération des services sociaux (FdSS); Alexis Deswaef, président de la Ligue belge francophone des droits de l'Homme (LDH); Grégoire Wallenborn, chercheur à l'ULB (IGEAT); Dominique Canivet, présidente f.f. de l'Association pour la reconnaissance de l'électro hypersensibilité (AREHS); Chloé Deligne, Raphaël Rastelli et Marco Schmitt, co-présidents d'Inter environnement Bruxelles (IEB); Olivier Galand, coordinateur de la plateforme grONDES; Marie-Christine Renson, coordinatrice de la Coordination gaz eau électricité (CGEE); Valérie Xhonneux, chargée de mission au Réseau wallon pour l'accès durable à l'énergie (RWADE); Sophie Meulemans, co-fondatrice du Collectif indépendant initiative citoyenne.

16/02/2018

Pétitions intelligentes contre compteurs nocifs


"Take Back Your Power", documentaire du cinéaste canadien Josh Del Sol. Les compteurs intelligents, ou communicants, transmettent automatiquement les niveaux de consommation de l'électricité, du gaz ou de l’eau. Ce film évoque les doutes que suscite leur installation :
  • atteintes à la santé dues aux ondes électromagnétiques
  • collecte de données personnelles et respect de la vie privée
  • craintes au niveau des coûts
  • risque d’incendie …

Toujours au sujet des compteurs prétendument intelligents et pour agir concrètement,
voici ci-dessous les liens pour signer les pétitions en ligne contre l’installation de ces compteurs à Bruxelles et en Belgique.

Cliquez ici si vous habitez à Bruxelles ou en Belgique.

Si vous habitez en Wallonie, cliquez et signez aussi ici.

Merci de diffuser ce lien à vos contacts. Il y a urgence car tous les parlements régionaux belges sont sur le point d’adopter, sur proposition de leur gouvernement respectif, un texte légal imposant l’installation systématique dans tous les ménages, entreprises, industries, établissements scolaires de compteurs communicants dits « intelligents ».

Ces compteurs présentent de nombreux défauts et risques divers tant pour notre santé que pour notre sécurité. Pour ces raisons, nous devons nous mobiliser ensemble afin que ces projets n’aboutissent pas ; que les principes de la démocratie l’emportent et que nos libertés et droits fondamentaux soient respectés.

En savoir plus : Le déploiement des compteurs dits " intelligents" est une fausse bonne idée (Grappe).


21/12/2017

Ciné-débat sur les compteurs « intelligents »

https://takebackyourpower.net/

Vendredi 19 janvier à 19h30
Hôtel communal Woluwe-Saint-Lambert - salle des conférences

Entrée libre


En 2018, Sibelga lancera à Bruxelles un projet pilote prévoyant l’installation de 5.000 compteurs d’électricité dits « intelligents ».

Take Back Your Power, documentaire du cinéaste canadien Josh Del Sol, traite des enjeux entourant les compteurs « intelligents » qui sont amenés à remplacer les compteurs traditionnels. Les compteurs intelligents, ou communicants, transmettent automatiquement les niveaux de consommation de l'électricité, du gaz ou de l’eau. Ce film évoque les doutes que suscite leur installation :
  • atteintes à la santé dues aux ondes électromagnétiques
  • collecte de données personnelles et respect de la vie privée
  • craintes au niveau des coûts
  • risque d’incendie…
Le documentaire brosse un portrait global de la situation en faisant intervenir experts, chercheurs, politiciens, médecins et citoyens déjà concernés partout dans le monde.

La projection sera suivie d’un débat avec entre autres Paul Lannoye, député européen honoraire, et un représentant de InforGazElec.

Une initiative d’AREHS, Association pour la Reconnaissance de l’Électro Hyper Sensibilité, dont l’objectif est la reconnaissance légale de l’Electro Hyper Sensibilité comme intolérance à un environnement électromagnétique perturbé (antennes-relais, bornes wifi, compteurs intelligents,…), laquelle entraîne un handicap physique et social.
Plus d’info et pour devenir membre: www.arehs.be – info@arehs.be
takebackyourpower.net